Mot du directeur
Bienvenue sur le site de l’École de relations industrielles!
Depuis sa création en 1945, l’École de relations industrielles (ci-après l’École) est devenue l’une des plus grandes institutions d’enseignement dans les domaines du travail et de l’emploi en Amérique du Nord et a acquis une reconnaissance sur le plan international. Le corps professoral est composé de 26 professeurs mettant à profit leurs champs d’expertises dans des activités d’enseignement et de recherche. Leurs intérêts concernent la perspective des employeurs et des entreprises, celle des employés et de leurs représentants, celle des organismes et des gouvernements, qu’il s’agisse du contexte québécois, canadien ou international. En plus des professeurs, plusieurs chargés de cours, dotés d’une expérience sur le marché du travail, contribuent à la richesse de l’enseignement.
L’École offre des programmes d’études hautement reconnus sur le marché du travail. Une des grandes forces de nos programmes est leur caractère multidisciplinaire. En effet, les connaissances de plusieurs sciences s’intéressant au travail et à l’emploi sont intégrées en fonction de cinq grands champs d’expertise et de pratique professionnelle, à savoir la gestion des ressources humaines, les relations du travail, le droit du travail, les politiques gouvernementales du travail et la santé et sécurité du travail. Des programmes sont offerts à tous les cycles universitaires. Au premier cycle, le baccalauréat en relations industrielles prépare les étudiants tant à entreprendre une carrière professionnelle qu’à poursuivre leurs études aux cycles supérieurs, alors que la majeure en relations industrielles propose une formation générale dans les domaines du travail et de l’emploi. Au deuxième cycle, l’École offre plusieurs programmes permettant de répondre à des besoins professionnels variés chez les étudiants : maîtrise en relations industrielles, D.É.S.S. en relations industrielles, D.É.S.S. en santé et sécurité du travail et six microprogrammes spécialisés sur différentes thématiques du travail et de l’emploi. Au troisième cycle, le doctorat en relations industrielles permet de préparer les étudiants à une carrière de professeur ou de chercheur.
L’École de relations industrielles représente un milieu stimulant pour étudier. Plus spécifiquement, les étudiants peuvent bénéficier d’un environnement de recherche de pointe grâce, entre autres, à des unités de recherches reconnues : un centre de recherche de première importance (Centre de recherche interuniversitaire sur la mondialisation et le travail [CRIMT]), un observatoire (Observatoire sur la santé et le mieux-être au travail) et deux chaires de recherche (Chaire BMO – Diversité et gouvernance et MYRIAGONE – Chaire de recherche McConnell-Université de Montréal en mobilisation des connaissances jeunesse). De plus, les étudiants à la maîtrise et au doctorat peuvent obtenir un soutien financier dans la réalisation de leurs études par le biais des subventions de recherche des professeurs et des programmes de bourses de l’École.
Pour en apprendre davantage sur les divers aspects de l’École, je vous invite à consulter les rubriques de ce site Web. Bonne visite!
Vincent Rousseau
Directeur de l’École de relations industrielles
Historique
Les personnes qui se sont succédé à la tête de l'École depuis sa création en 1945.
- Vincent Rousseau (2020 à ce jour)
- Victor Haines (2015-2020)
- Jean Charest (2010-2015)
- Tania Saba (2008-2010)
- Reynald Bourque (2004-2008)
- Marcel Simard (1999-2004)
- Gilles Trudeau (1995-1999)
- Viateur Larouche (1991-1995)
- Mireille Mathieu (1990-1991, administratrice)
- Michel Brossard (1988-1990)
- Gilles Guérin (1988, intérim)
- Viateur Larouche (1987-1988, intérim)
- Jean-Michel Cousineau (1985-1987)
- Gilles Guérin (1983-1985)
- Pierre-Paul Proulx (1980-1982)
- Claude Daoust (1980)
- Viateur Larouche (1977-1980)
- Émile Gosselin (1976, intérim)
- Claude Rondeau (1974-1976)
- Jean-Réal Cardin (1971-1973)
- Louis-Marie Tremblay (1965-1971)
- Gilles Beausoleil (1961-1965)
- Jean-Réal Cardin (1958-1961)
- Louis-Philippe Brizard (1951-1958)
- Père Émile Bouvier (1945-1951, premier directeur)