J’ai eu l’honneur de recevoir la bourse d’excellence CRHA 2020. Être choisie comme boursière par l’Ordre des CRHA est une très belle marque de reconnaissance des efforts que j’ai investis dans mes études ces dernières années. Cette bourse m’a permis de me concentrer sur la rédaction de mon mémoire et cela me motive beaucoup à présenter mes résultats à la communauté politique et juridique du Québec. J’ai espoir que mes travaux permettront aux travailleurs de bénéficier d’une meilleure protection de leur santé et de leur sécurité au travail d’améliorer leurs conditions d’emploi!

J’ai eu l’honneur d’être récipiendaire d’une bourse d’engagement de la Fondation de l’Ordre des conseillers en ressources humaines agréés remise par DLGL Technologies au mois d’avril dernier. Cette reconnaissance vient ficeler mon parcours à la maîtrise à l’École des relations industrielles de l’Université de Montréal. De par mes implications, à titre de représentante des étudiants au deuxième cycle du SEMDRIUM, de fondatrice de l’Association des Jeunes Philanthropes de l’Université de Montréal, de conseillère à l’orientation des bénévoles d’affaires au Centre d’action bénévole de Montréal ou même comme volontaire à New Delhi dans un stage visant l’autonomisation en emploi de femmes en situation de précarité, je m’épanouie énormément. Cette bourse m’encourage à poursuivre mes engagements et démontre bien que nous avons tous un rôle social à jouer en nous impliquant auprès de causes qui nous tiennent à cœur. Un grand merci à la Fondation CRHA et à DLGL Technologies pour cette reconnaissance, mais aussi à l’École de relations industrielles de l’Université de Montréal pour les opportunités en or tout au long de ma maîtrise!

Mentore : Manon Poirier, CRHA, directrice générale de l’Ordre CRHA

Recevoir une bourse Mentorat de la Fondation CRHA est un grand privilège. Il s’agit d’une très belle marque de reconnaissance de la part de l’ordre des CRHA. En début de carrière, avoir l’opportunité de bénéficier des conseils et de l’expertise d’un mentor CHRA est une expérience inestimable. Mes rencontres avec ma mentore m’ont permis cibler des objectifs qui me tiennent à cœur et de me donner les moyens d’atteindre mes rêves. J’ai confiance que malgré cette période mouvementée, je possède les compétences nécessaires à une carrière ascendante en relations de travail. 

En plus de représenter un prix de distinction pour un travail acharné, la bourse de la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) décernée par l’École de relations industrielles représente pour moi l’occasion de rendre compte d’un sujet de recherche très peu étudié en relations industrielles alors qu’il est fort intéressant et enrichissant. En effet, en raison de leur singularité, mais aussi de leur précarité, les carrières artistiques méritent qu’on leur porte une attention particulière. Cette bourse représente donc l’occasion d’étudier en profondeur comment s’opèrent et sont vécues les transitions de carrières contraintes provoquées en raison de facteurs physiques chez les artistes de la danse.

Étudiante à la maîtrise à l’École de relation industrielles de l’Université de Montréal, j’ai toujours eu un intérêt très marqué par les arts de la scène et plus spécifiquement par les arts du cirque. Gymnaste durant de longues années, j’ai eu la chance de rencontrer des athlètes de haut niveau fortement identifiés à leur milieu et très engagés dans leur pratique sportive et professionnelle. Sans aucun doute, cette expérience m’a conduite à vouloir poursuivre mon travail de recherche sur la problématique de la transition de carrière dans les arts du cirque.

Avec l’appui et le soutient de mon directeur de recherche, Philippe Barré, je cherche à comprendre l’articulation des éléments internes et externes de l’activité qui contraignent ces artistes à entreprendre une transition de carrière. À cet égard, ce travail vient nourrir la recherche scientifique dans le champ des relations industrielles et contribue également à documenter un aspect constitutif du travail qui demeure inexploré. Autrement dit, cette implication s’inscrit comme une manière de soutenir le travail artistique et de participer au développement des connaissances de la profession circassienne au sein de la communauté scientifique et d’apporter un regard nouveau sur les réalités de ces artistes.

Ce travail, faisant l’objet d’une idée nouvelle et originale pourrait constituer un bassin de connaissances utiles pour les chercheurs dans le domaine et pour les organisations circassiennes dans leur ensemble.

L’obtention de cette bourse dédiée va me permettre de mener à terme mes objectifs de recherche et ainsi, encourager le partage des savoirs et des connaissances entre les relations industrielles et les arts du cirque.

Je suis très reconnaissante d’avoir pu bénéficier du support financier de la FIQ pendant la rédaction de mon mémoire. Étant avocate et militante pour une meilleure protection des travailleurs, j’ai entamé mes études supérieures dans l’objectif de participer à l’amélioration des lois du travail au Québec. Comme je m’intéresse particulièrement aux enjeux juridiques du temps de travail et à ses impacts sur la santé et la sécurité des travailleurs, être récipiendaire de la bourse Diane-Lavallée de la FIQ est un grand honneur. Je suis convaincue que mes recherches permettront aux travailleuses et aux travailleurs de la FIQ de bénéficier d’une meilleure protection de leur santé et leur sécurité au travail. 

Je suis un étudiant iranien qui est passionné par le monde du travail. Cette passion m’a amené vers mon domaine actuel, les relations industrielles. Mon enthousiasme envers les relations du travail a commencé depuis le premier semestre de mon baccalauréat en gestion industrielle. Après ma diplomation dans mon pays d’origine, j’ai constaté que la formation « maîtrise en relations industrielles » offerte par l’Université de Montréal et l’École de relations industrielles, s’inscrit parfaitement dans la logique de mon projet de recherche concernant les conditions d’effectuation du travail des musiciens et plus précisément la pluriactivité que ces professionnels vivent dans leur vie professionnelles.

Ce sujet est considéré intéressant pour moi car selon mon expérience personnelle en tant qu’un musicien, je suis conscient que ces professionnels doivent faire face à plusieurs défis dans leurs vies privés et professionnelles. En observant les difficultés imposées à mes éducateurs dans le domaine de la musique dans mon pays d’origine et en raison de leurs conditions du travail, je suis devenu enthousiaste d’étudier les conditions du travail des musiciens montréalais qui souffrent de mêmes enjeux que les musiciens iraniens.

En mars dernier, grâce à mon parcours académique, mes réalisations pendant les deux premiers semestres de la maîtrise en relations industrielles et particulièrement ma recherche sur le travail des musiciens sous la direction de mon directeur de recherche monsieur Philippe Barré, celui que son soutien me motive toujours de continuer mon parcours, j’ai obtenu le Prix Louis Laberge de la Fédération des travailleurs du Québec (FTQ) en reconnaissance de mon projet d’étude.

Enfin, j’aimerais remercier toutes les personnes qui m’ont aidé dans mon parcours et plus précisément dans l’obtention de ce prix.

Fier lauréat de la Bourse Melançon, Marceau, Grenier et Sciortino, mon mémoire tentera de répondre à cette question : l’expression d’une critique publique à l’égard de l’employeur et la divulgation externe d’actes répréhensibles dans l’entreprise exposent-elles le travailleur à des mesures disciplinaires ? J’analyserai ainsi l’interprétation que les tribunaux ont donnée à l’obligation de loyauté du travailleur du Code civil du Québec de même que la liberté constitutionnelle d’expression. Les protections législatives accordées aux lanceurs d’alerte et leurs efficacités respectives seront également abordées.

Quelle fierté d’être récipiendaire de l’une des bourses dédiées de l’École de relations industrielles. Offerte par le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, cette reconnaissance souligne mon parcours universitaire au 2ème cycle et supporte la réalisation de mon mémoire. L’attribution de cette bourse représente un réel honneur à mes yeux et je suis sincèrement touchée que mon travail de recherche sur l'entrepreneuriat féminin soit applaudi et reconnu!