C’est un immense honneur d’être lauréate de la bourse Marcel-Pépin offerte par la Confédération des syndicats nationaux (CSN). Je tiens à remercier le Comité des bourses, l’École de relations industrielles, ainsi que la CSN pour l’attribution de cette bourse. Je remercie d’autant plus ma directrice de thèse, Tania Saba, pour ses précieux conseils et son accompagnement. Cette marque de reconnaissance m’encourage à poursuivre ma recherche doctorale sur les inégalités présentes sur le marché du travail.

 Ma thèse porte sur l’impact du télétravail comme mode d’organisation du travail sur les inégalités en milieu de travail et s’intéresse plus particulièrement à la réalité des groupes traditionnellement sous-représentés. L’originalité de mon projet de thèse réside dans sa capacité à clarifier les risques associés à la conception du télétravail qui a été « réinventée » à la suite de la crise sanitaire sur certains groupes de travailleurs. Ma recherche permettra de mieux comprendre la diversité des réalités en télétravail auxquels sont confrontés des groupes sous-représentés et la manière dont leur expérience professionnelle est façonnée par leurs caractéristiques individuelles. Une telle compréhension pourra permettre aux travailleurs appartenant à ces groupes de mieux se protéger et de promouvoir des conditions de travail décentes des suites d’une pratique intensive du télétravail.

C’est avec un grand honneur que j’ai appris avoir été sélectionné pour la bourse Louis-Laberge offerte par le Fonds de solidarité FTQ. Je remercie bien évidemment le comité de bourse, mais aussi l’École de relations industrielles pour son soutien continu, mon directeur de thèse, Jean-Michel Cousineau, avec qui je collabore depuis plusieurs années avec joie et, bien évidemment, la générosité du Fonds de solidarité FTQ. Je suis particulièrement heureux de recevoir une reconnaissance de la part d’un organisme fondé par des travailleurs et portant des valeurs de solidarité que je partage et que je tente de développer dans mes réflexions.

 Ce soutien financier m’encourage à redoubler d’efforts dans mon objectif compléter ma thèse. Mes recherches portent sur la reconfiguration des politiques publiques de l’emploi destinées à la population âgée québécoise visant à les inciter à demeurer ou à revenir sur le marché du travail. Dans le cadre de celui-ci, je tente de documenter avec précision l’ampleur des changements apportés aux mesures destinées aux travailleurs âgés mais également l’effet différencié selon le statut socioéconomique des travailleurs. Ce sujet représente également une opportunité de se pencher sur le rapport que l’on a vis-à-vis du travail, en particulier au moment où l’on s’interroge sur la décision de sortir de l’emploi.

Il s’agit d’un grand honneur pour moi d’avoir été choisie comme lauréate de la bourse Diane-Lavallée de la FIQ. J’adresse mes plus sincères remerciements à l’École de relations industrielles, à directeur de recherche, Alain Marchand, ainsi qu’à la FIQ pour leur soutien dans la réalisation de ce mémoire. Cette bourse représente une marque de confiance envers ma recherche qui permet de valider l’importance que j’accorde à la santé psychologique au travail.

Plus précisément, mon mémoire porte sur l’effet modérateur du soutien social hors-travail dans la relation entre les conditions de l'organisation du travail et l'épuisement professionnel. En s’intéressant à l’interaction entre les deux milieux les plus centrales dans l'activité quotidienne des individus, soit le milieu de travail et le milieu familial (le réseau social), cette recherche vise à mieux comprendre la dynamique complexe dans laquelle se développe l'épuisement professionnel. Ainsi, l’objectif est d’avoir une meilleure connaissance des facteurs qui influencent le développement de l’épuisement professionnel afin de mettre en lumière des pistes de mesures de prévention visant à limiter sa prévalence dans les milieux de travail.

J’ai été particulièrement honorée d’avoir été choisie par l’École de relations industrielles et son Comité des bourses pour être l’heureuse lauréate de la bourse offerte par le cabinet Melançon, Marceau, Grenier et Cohen. Il s’agit pour moi à la fois d’un grand honneur et d’une marque de confiance envers mon parcours académique.

Dans le cadre de mon projet de mémoire, je m’intéresse au traitement des pourvois d’appel devant la Cour suprême du Canada, particulièrement aux matières susceptibles d’impacts sur la liberté constitutionnelle d’association. Un nombre très élevé de refus des demandes de permission d’appel à la CSC soulève le problème du manque de transparence de la procédure puisque la Cour suprême du Canada ne motive pas le refus des demandes de permission d’appel. L’examen des demandes (accueillies et refusées) nous permettra de constater l’ampleur de cette situation qui nous paraît a priori être à l’encontre des attentes raisonnables en matière de prise de décision dans le système judiciaire canadien.

Je tiens à remercier le cabinet Melançon, Marceau, Grenier et Cohen pour leur soutien financier. Je remercie aussi l’École de relations industrielles de croire en mon projet et plus particulièrement, mon directeur Michel Coutu pour son accompagnement précieux.

Si nous entamons des recherches sur un thème dans notre département de relations industrielles et si nous nous intéressons quotidiennement à un sujet précis, ce n’est rien d’autre que le travail. Imaginez alors le niveau d’émotion et de fierté que j'ai ressenti quand j’ai pris connaissance de ma sélection pour la bourse du ministère du Travail du Québec. 

Mes remerciements du fond du cœur au Professeur Rousseau, directeur de l’École, à mon directeur de recherche, le professeur Boudarbat, au Comité des bourses, et surtout au ministère du Travail, notre parrain et refuge qui croit toujours en la recherche.

J’essaye à travers ma thèse de mettre le doigt sur la problématique de la non-reconnaissance du capital humain des immigrants au marché du travail canadien. Mon objectif est de voir à quel point la communauté libanaise montréalaise a réussi à contourner cette problématique en achevant une bonne intégration. Pour mesurer l’étendue de cette intégration je vais développer un indice regroupant plusieurs nouvelles variables sociales en plus de variables économiques.

Je crois qu’avec de telles bourses, nous pourrons participer à l’effort collectif visant des politiques publiques mieux adaptées et un environnement de travail plus décent et plus juste.

Il s’agit d’un grand honneur pour moi que d’être la lauréate de la bourse offerte par la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST), la principale organisation responsable de l’application et de la promotion des lois du travail au Québec, y compris la LSST, récemment modernisée pour y inclure les risques psychosociaux du travail. Je partage avec cet organisme un objectif commun : identifier et réduire les risques pouvant affecter la santé des travailleurs.

L’objectif principal de ma thèse est d’évaluer si le navettage, défini par le temps passé à se déplacer pour se rendre au travail, les modes de transport utilisés et les différents types de navettage, s’associe à la détresse psychologique des employés et si cette relation est expliquée par le conflit travail-famille. Ma recherche prend également en considération les différences de genre potentielles et les facteurs psychosociaux. Dans un contexte postpandémique, cette thèse représente une contribution innovante ayant le potentiel de soutenir des politiques organisationnelles et gouvernementales liées à la promotion de la santé.

Je remercie la CNESST, le Comité des bourses et le directeur de l’École, Vincent Rousseau, l’Observatoire sur la santé et le mieux-être au travail (OSMET), ainsi que mon directeur de recherche, Alain Marchand. Votre soutien est inestimable dans la réussite de ce projet.

Être lauréat de la bourse de la Centrale Syndicale du Québec (CSQ) est un honneur pour moi. Je souhaite exprimer ma gratitude pour la CSQ, ses syndiqués ainsi que l’École de relations industrielles de m’avoir choisi pour recevoir ce soutien financier. De plus, je souhaite remercier ma directrice, Dre Nancy Beauregard, pour le soutien offert dans les démarches entourant mon projet de mémoire.

Grâce à cette contribution, je pourrai entamer la rédaction de mon projet de mémoire concernant l’effet modérateur des pratiques de gestion des ressources humaines axées sur la participation et l’autonomie sur la relation entre l’environnement psychosocial de travail et l’épuisement professionnel. Ce sujet d’actualité porte son intérêt dans le fait que la littérature scientifique aborde peu les façons d’agir en amont sur l’épuisement professionnel grâce aux pratiques de gestion des ressources humaines, permettant d’explorer le rôle de l’employeur dans cette problématique. Détenant un baccalauréat en psychologie et travaillant présentement en réadaptation professionnelle, cet enjeu attise un grand intérêt pour moi. J’espère que les résultats de cette recherche permettront de mieux outiller les utilisateurs de pratiques de gestion des ressources humaines pour la prévention de l’épuisement professionnel au sein des organisations, entrainant une réduction des coûts, autant psychologiques qu’économiques, que subissent les individus et organisations touchés par cette problématique.

Je suis très honoré d’être l’heureux lauréat de la bourse d’excellence BUI DOAN NGUYEN de l’École de relations industrielles. Il s’agit d’une belle reconnaissance et d’un important encouragement pour la poursuite de la rédaction de mon mémoire. 

Mon projet de recherche porte sur les caractéristiques des tâches et l’efficacité de l’organisation du travail en mode hybride (OTMH). Les études sur le travail à distance ne sont pas nombreuses à s’intéresser aux composantes du travail que sont les tâches. C’est en ce sens que je vise à évaluer l’efficacité de l’OTMH en examinant les différentes composantes des postes de travail notamment en termes de tâches et de caractéristiques.

Je remercie très chaleureusement monsieur Phong Nguyen, le donateur de la bourse pour sa grande générosité et son soutien envers les étudiants de l’École, le directeur de l’École, Vincent Rousseau et tout le corps professoral notamment ma directrice de recherche, Tania Saba, pour son accompagnement.