Je tiens à exprimer ma sincère gratitude à la Confédération des syndicats nationaux (CSN) pour l’octroi de la Bourse Marcel-Pepin. C’est un immense honneur que d’être associé à l’héritage d’un homme qui a consacré sa vie à la lutte pour une plus grande justice sociale et économique au Québec. Je tiens également à remercier l’École de relations industrielles et plus particulièrement ma directrice de thèse, Mélanie Laroche, pour son appui indéfectible depuis le commencement de ce projet. Le parcours doctoral est souvent long et parsemé d’obstacles et ce type de reconnaissance favorise la persévérance et allège le stress financier qu’impliquent les études supérieures. J’en suis très reconnaissant.

Mon projet de thèse vise à reconsidérer la place de l’opinion publique dans les modèles de négociation collective en évaluant les effets qu’elle peut provoquer sur le pouvoir de négociation. L’opinion publique est un terrain contesté pour les parties prenantes à la négociation collective, y compris les médias eux-mêmes. Mon intention est de mobiliser les recherches portant sur le cadrage médiatique et celles qui s’intéressent aux stratégies de communication des organisations syndicales dans l’optique d’établir un dialogue entre ces littératures et les travaux théoriques sur la négociation collective.

Recevoir la Bourse Louis-Laberge du Fonds de solidarité FTQ représente une grande fierté pour moi. Je remercie sincèrement le Fonds pour son engagement envers la recherche en relations industrielles et pour l’appui offert à mon projet de mémoire. Ce soutien me permet d’approfondir mes recherches dans des conditions favorables et de porter une attention renouvelée à des enjeux syndicaux contemporains. Je tiens également à remercier le Comité des bourses, le corps professoral de l’École de relations industrielles, ainsi que ma directrice de recherche, Mélanie Dufour-Poirier, pour son accompagnement précieux.

Dans le cadre de mon mémoire, je souhaite documenter empiriquement la consommation de drogues stimulantes dans le secteur de la construction, en croisant les perspectives québécoise et française. Mon projet vise à explorer les impacts de ce phénomène sur la santé mentale des travailleurs, exposés à des conditions de travail exigeantes. Je m’intéresserai également à la réalité des représentantes et représentants syndicaux, dont la charge de travail pourrait être alourdie par la prise en charge de ces problématiques. En étudiant la fatigue militante qui peut émerger dans ce contexte, je souhaite contribuer à une meilleure compréhension des enjeux de santé, de représentation et de conditions de travail dans ce secteur clé.

Je tiens à exprimer ma sincère gratitude envers la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) pour cette bourse d’excellence ainsi qu’envers l’École de relations industrielles pour ce signe de confiance. Ce soutien représente bien plus qu’un appui financier. C’est un encouragement dans mon parcours académique et une reconnaissance du travail de recherche que je mène. C’est aussi une motivation supplémentaire à poursuivre mes études ainsi que contribuer, à mon échelle, à une meilleure compréhension du monde du travail.

Mon mémoire s’est intéressé aux impacts simultanés de la pandémie mondiale de COVID-19 et de la pénurie de main-d’œuvre sur les conditions de travail des personnes immigrantes au Québec. Les deux événements historiques ont transformé la dynamique du travail, posant des problèmes clés d’équité et d’intégration. En tant que personne immigrante, cette recherche a une signification personnelle et symbolique.

C’est pour moi un immense honneur d’être désigné comme lauréat de la Bourse Diane-Lavallée de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ). J’adresse mes remerciements les plus sincères à l’École de relations industrielles, à ma directrice de recherche, Émilie Genin, ainsi qu’à la FIQ.

Cette bourse témoigne de la confiance accordée à cette recherche qui s’intéresse à un groupe de femmes immigrantes ayant un statut migratoire précaire de demandeuses d’Asile et qui travaillent dans des emplois déqualifiés. Étant exploratoire, cette étude portera sur conditions d’emploi et de travail des femmes demandeuses d’asile En milieu de travail, ces femmes sont confrontées à plusieurs barrières et obstacles, ce qui rend leur situation particulièrement vulnérable. L’intérêt de cette étude réside dans l’observation des difficultés rencontrées par ces travailleuses immigrantes du secteur de la santé et des services sociaux. Ce mémoire tentera plus particulièrement d’illustrer de quelle manière le statut d’immigration des femmes demandeuses d’asile, la discrimination, l'absence de réseau professionnel ou local, ainsi que leur situation personnelle et familiale influencent leurs conditions de travail et d’emploi, et pourquoi il est si difficile pour elles de les améliorer. Une méthodologie qualitative est utilisée afin de mieux comprendre leur expérience de travail à travers leur vécu quotidien.

Je suis profondément reconnaissante au cabinet Melançon, Marceau, Grenier et Cohen pour cette reconnaissance, ainsi qu’à l’École de relations industrielles et à ma directrice de recherche, Dalia Gesualdi-Fecteau, pour leur accompagnement précieux. Cette bourse représente bien plus qu’un simple soutien financier. Mon retour aux études pour entreprendre une maîtrise à temps plein découle d’un désir profond d’approfondir mes connaissances, malgré les défis financiers que cela implique. Ce que je n’avais pas anticipé, c’est la reconnaissance que d’autres accordent à l’importance de mon sujet de recherche. Recevoir cette bourse signifie que mes travaux ont un écho au-delà de mes aspirations personnelles : ils peuvent contribuer à faire avancer la société.

Ma recherche porte sur les impacts du projet de loi 42, qui vise à prévenir et combattre le harcèlement psychologique et la violence à caractère sexuel en milieu de travail. J’analyse les effets concrets de ces changements législatifs sur les personnes victimes qui déposent une plainte. Comprendre ces impacts est essentiel pour évaluer l’efficacité réelle de la loi et identifier les ajustements nécessaires.

Je suis très honoré d’avoir reçu la bourse du ministère du Travail et je tiens à exprimer ma profonde gratitude à l’École de relations industrielles pour cette reconnaissance. Ce soutien financier constitue une aide précieuse qui me permettra de poursuivre mes travaux de recherche doctorale dans des conditions optimales. Cette bourse représente non seulement un appui concret à la réalisation de mes recherches, mais aussi une reconnaissance importante de la pertinence de ces enjeux. Elle me motive à poursuivre mon travail avec rigueur, curiosité et engagement.

Ma thèse porte sur les transformations que l’intelligence artificielle (IA) engendre dans les processus de prise de décision en ressources humaines. Elle s’intéresse plus particulièrement aux façons dont les professionnel·le·s en ressources humaines s’adaptent à ces nouvelles réalités technologiques, en ajustant leurs pratiques et en redéfinissant leur rôle au sein des organisations. Dans un contexte où l’IA redessine progressivement les dynamiques du travail, il devient essentiel de mieux comprendre ses effets sur les acteurs de terrain.

Je tiens à remercier la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) ainsi que l’École de relations industrielles pour la bourse. Je suis heureuse de recevoir cette reconnaissance qui représente un soutien précieux pour la suite de mon parcours. Je remercie également ma directrice de recherche, Mélanie Dufour-Poirier, pour son encadrement attentif, sa disponibilité constante, ses encouragements et la richesse de ses conseils tout au long de la réalisation de mon mémoire.

Mon projet de recherche met l’accent sur l’importance de comprendre les liens entre l’organisation du travail et la prévalence des atteintes à la santé mentale chez les enquêteurs du secteur policier au Québec. Nous nous intéressons notamment à l’institutionnalisation de stratégies de prévention primaire pour qu'elles deviennent des valeurs organisationnelles durables. Notre recherche adopte ainsi un processus de co-construction qui repose sur l’identification et l’analyse volontaire de l’ensemble des acteurs du travail pour cerner les dysfonctionnements organisationnels et trouver des solutions adéquates en vue d’améliorer la santé mentale et le bien-être au travail.

Recevoir la Bourse d’excellence BUI DOAN NGUYEN est avant tout une immense fierté et je suis profondément reconnaissant pour le choix porté sur ma personne. Cette bourse est aussi le prolongement d’une histoire inspirante, celle de Monsieur Phong Nguyen qui, arrivé du Vietnam dans les années 1970 pour étudier à l’École de relations industrielles, a surmonté de nombreux défis pour réussir son parcours universitaire et s’intégrer pleinement à la société québécoise et canadienne. En tant qu’étudiant international, son exemple de réussite et de générosité est une source d’inspiration. Je lui suis très reconnaissant pour l’octroi de cette bourse. Je tiens également à exprimer ma profonde gratitude à mon directeur de recherche, Patrice Jalette, pour son accompagnement précieux, ainsi qu’à l’ensemble du personnel de l’École pour leur disponibilité et leur engagement envers des initiatives aussi porteuses.

Cette bourse m’encourage à poursuivre ma recherche doctorale sur la relation entre les configurations des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) et la performance organisationnelle. Ma thèse vise à comprendre les dynamiques de mise en œuvre des enjeux de durabilité en milieu organisationnel à partir d’une approche configurationnelle, en identifiant les combinaisons de pratiques susceptibles de favoriser ou non la performance, avec une attention particulière portée aux enjeux sociaux et de la main-d’œuvre.

Recevoir la Bourse Julien-BriseBois est un immense honneur, mais surtout un levier essentiel pour la poursuite de mes travaux doctoraux. Je tiens à exprimer ma plus profonde gratitude envers Monsieur Julien BriseBois pour sa générosité, ainsi qu’envers l’Université de Montréal et l’École de relations industrielles pour leur soutien indéfectible à la recherche universitaire. Je tiens, par la même occasion, à remercier ma directrice de recherche, Tania Saba, pour son soutien constant et pour les nombreuses opportunités qu’elle m’a offertes tout au long de mon parcours.

Ma thèse de doctorat vise à comprendre dans quelles conditions les femmes accèdent à des postes décisionnels, comment elles définissent leur propre succès de carrière, souvent au-delà des indicateurs financiers, et en quoi leurs convictions en matière de durabilité influencent leur leadership. Mon objectif est d’évaluer l’efficacité des stratégies de normalisation volontaire, comme le Défi 50-30, et de proposer un modèle explicatif qui tienne compte à la fois des ambitions individuelles, des obstacles systémiques et des critères de performance axés sur la durabilité.

Cette bourse va donc contribuer à amplifier la voix des dirigeantes, à mieux comprendre leur parcours, et va contribuer, je l’espère, à l’émergence d’un leadership à la fois plus innovant, inclusif et durable.